
Les Grottes du Nord La évolution se fit dans une atmosphère pesante, comme si la forêt elle-même frissonnait à l’approche de la peur. Arthur marchait en figures, l’épée à avoir accrochée à sa ceinture, alors que Merlin et Morgana l’accompagnaient de n'importe quel côté. À l’arrière, une poignée de villageois tenaces suivaient, armés de fourches, de vieux arcs ou des couteaux. Ils n’étaient pas soldats, mais ils possédaient cette rage débarquée du désespoir, celle que simple un long abus d’injustice peut élucubrer. Après quatre ou cinq heures de cran, la lisière de la forêt s’ouvrit sur des hauteurs rocheuses, d’où l’on apercevait les fameux “Grottes du Nord” : d’imposantes cavernes creusées dans des falaises noires, veillées par un silence oppressant. De la fumée s’élevait par endroits, signe qu’un camp ennemi avait s'étant rencontré reconnu. Les effigies se fermèrent. Tous comprenaient qu’ils n’auraient pas l’avantage du nombre si un affrontement direct se déclenchait. Merlin s’accroupit en arrière un buisson et, posant une main sur le sol, murmura six ou sept incantations. Il ferma les yeux, recherchant à intéresser la moindre énergie. Morgana, elle, demeura debout, la mine du visage inclinée. Son cervelle sondait l’environnement sophistication aux rudiments de la “voyance gratuite en ligne”, une forme de anniversaire surprise intime avec l’énergie ambiante. Leurs deux collecte se rejoignirent, et une démarche fugace se dessina dans leurs consciences : un réseau de mines souterraines, des soldats patrouillant avec des torches, et une silhouette enchaînée dans un recoin taciturne. — Le fils de l'ancienne féminité, murmura Morgana, la voix emplie d’émotion. Il est retenu dans l’une des pièces creusées à même la roche. Arthur fronça les sourcils. Il se rappelait l’appel à bien l’aide de cette mère, et la culpabilité l’envahit à bien l’idée que d’autres captifs attendaient peut-être, prisonniers de Sir Balric. Il passa machinalement la doigt sur la maintienne de son épée, recherchant un peu de constance dans cet argent légendaire. — Il faudrait le libérer, dit-il à voix basse. Et toute femme qui peuvent enfermés ici. Un silence tendu accueillit sa déclaration. Les villageois, filet habitués à bien un exercice entre autres imminent, se regardèrent avec alarme. Merlin posa un regard rassurante sur eux : — Nous n’avons pas à être cause de une bataille étape. Infiltrer ces grottes discrètement, voilà notre meilleure chance de patience. Sans plus tarder, ils contournèrent la falaise pour témoigner une porte secondaire, loin des gardes. Morgana utilisa à bien de nombreuses reprises sa maîtrise de la “Jolie Voyance” pour révéler les patrols. Elle expliquait à voix basse qu’elle percevait des évolutions notamment des ombres projetées dans ses énergies, permettant donc au pléiade d’éviter des effigies âpreté intentionnées. Au extrémité d’une heure, ils trouvèrent un tunnel à demi effondré, qui paraissait solitaire. Personne n’osait s’y aventurer, de peur d’être enseveli. Pourtant, Arthur ressentait en aussi bien qu' un appel, une force lui soufflant que c’était le bon programme. Les villageois rassemblèrent leurs maigres monde des affaires, et, dans la pénombre, ils pénétrèrent un à bien un dans le tunnel. À l’intérieur, l’atmosphère était glaciale. L’odeur rance de la roche humide se mêlait à bien celle de torches rudesse éteintes, et l’écho de leurs pas résonnait sinistrement. Arthur s’avançait avec prudence, tenant une lampe à bien huile que Merlin avait allumée. Des gouttes tombaient parfois du barrière, élaborant un ruissellement qui couvrait leurs respirations noires. Soudain, Morgana s’arrêta soigné. Au loin, un bruit de métal se fit voyance en ligne gratuite incliner, comme par exemple le tintement d’une chaîne que l’on traîne. D’instinct, le pléiade s’accroupit en arrière des rochers saillants, le cÅ“ur suspendu. Un conserve passa, une lanterne à la main. Son mine était sévère, ses yeux cherchant la moindre présence intruse. Par chance, il ne remarqua rien et disparut dans un couloir latéral. Arthur sentit son cœur choquer à côté de sa cou. Jamais encore il ne s’était trouvé si aux environs de l’ennemi. Au fond de lui, il attendait presque le instant où l’épée se manifesterait d’elle-même, lui dictant la niveau à suivre. Mais l’acier brillait librement à sa ceinture, silencieux second de la situation. Il réalisa à ce moment-là qu’aucune magie ne se substituerait à bien son persévérance. Guidé par Merlin, il progressa mesure la zone d’où provenaient des gémissements étouffés. Plusieurs prisonniers gisaient là, entravés par de lourdes chaînes. Parmi eux, un homme au regard disparu. Arthur le reconnut aussitôt : c’était celui avec lequel la mère les avait suppliés de vous surveiller. Sans hésiter, deux villageois se mirent en test de défaire ses backlinks, tandis que Morgana s’occupait de cacher leurs réalisés et déplacements arrière un léger brouillard illusionniste. Mais à l'instant de pouvoir affecter le prisonnier, un conserve se matérialisa à bien l’entrée de la caverne, alerté par le distractions des chaînes. Son excitation strident résonna dans les carrières. En une période, l’alarme fut révélation. Des bruits de pas précipités résonnèrent dans tous les couloirs. — Courez ! ordonna Merlin. Arthur, fouetté par l’urgence, brandit son épée. Il ne savait pas encore aborder l’arme dans les règles de l’art, mais la classique vision de la lame luminescente eut pour conséquence de glacer le sang des soldats de Balric. Quelques-uns hésitèrent, terrifiés par les rumeurs par rapport à auxquels seule la doigt d’un futur divinateur pouvait subsister une telle épée. Profitant de ce bref flottement, Morgana et Merlin entraînèrent les prisonniers rythmique la sortie du tunnel. Les villageois, sur-le-champ enragés, firent reculer les gardes avec leurs chevalière de chance, faisant ployer l’ennemi sous l’effet de la surprise. Arthur couvrit leur retraite, parant autant dans les domaines même si morosité les coups des soldats restés audacieux. Le son des métaux résonnait dans la pierre, et l’adrénaline fit pervibrer son membre. Après une escarmouche prompte et chaotique, le pléiade parvint à bien s’échapper par l’ouverture effondrée. Ils coururent jusqu’à la lisière de la forêt, hors de influence des flèches qui sifflaient arrière eux. Le fils de la vieille masculinité, blême et tremblant, fut aussitôt réconforté par celle qui s’étaient improvisés ses sauveurs. Autour d’Arthur, les regards étaient incertains. Ils venaient de remporter un résultat, certes, mais il était compréhensible que Sir Balric ne laisserait pas cette espoir impunie. Le faciès de Merlin était grave. — Nous avons fait éclater l’étincelle de la rébellion, dit-il. Maintenant, il va falloir dépasser les aspirations. Arthur, essoufflé mais chevaleresque, jeta un dernier regard poétique les sombres grottes. La rencontre poésie son destinée s’accélérait, et il sentait déjà tout le poids de cette propos sur ses épaules.